lundi 27 février 2012


Nice le : 07/12/2009


Chers amis(es),

Comme prévu ce samedi 5 décembre en compagnie de mes deux marraines, Michèle Mercier et Betty Ulmer et de ma fidèle amie et collaboratrice, Sylvie Emile, nous nous sommes rendu sur le plateau deVence à la journée porte ouverte du refuge la SPACA organisée par mon association.
Le froid était au rendez vous mais malheureusement pas les futurs adoptants. Seul 4 pensionnaires ont trouvés refuge dans une nouvelle famille et le comble un couple est venu avec leur petite fille abandonner leur petit griffon avec un culot incroyable.
Il est certain que ce même week-end beaucoup de manifestations dans le département étaient organisées, les gens ne pouvant se rendre bien entendu partout à la fois.
Mais nous y étions et Nice-matin aussi pour relater l’événement et faire un joli article le lendemain dans l’édition du dimanche.
J’en ai profité pour en plus d’appeler à l’adoption, pour faire passer le message d’une demande de réelle prise de conscience des autorités gouvernementales et régionales, pour essayer d’enrayer un peu ce drame de la surpopulation canine, en l’occurrence.
Tant que l’animal sera considéré comme un jouet dont on peu se débarrasser avec une facilité déconcertante et que l’on peu acheter avec autant de facilité également, le cercle vicieux ne sera pas cassé.
Il faut OBLIGATOIREMENT a ce jour prendre nos responsabilités envers le genre animal que l’on s’approprie, il faut arrêter ses ventes de chiots en animalerie ou à défaut comme je le demande depuis des années, demander au maire de faire interdire l’exposition en vitrine des chiots et chatons comme de vulgaires chaussures. Il en a le pouvoir !
Des gens vont acheter leur pain et reviennent avec un chiot ou un chaton car ils l’ont vu en vitrine et ont craqués. Et l’acheteur en aucun cas de responsabiliser l’individu sur les contraintes qu’engendre l’acquisition d’un animal, que le chien a une durée de vie qui peu atteindre plus de 15 ans et le chat 20 ans, qu’il faut le sortir, qu’il fait ses besoins les premiers temps sur la moquette, qu’il y a les frais vétérinaire, la nourriture.
Pour eux c’est une vente point barre !
Voilà donc le récapitulatif de cette jolie journée quand même, car entouré de mes deux marraines que je remercie du plus profond de mon cœur, Michèle Mercier et Betty Ulmer et entouré de toute cette équipe formidable dont Gisèle dirige depuis longtemps et qui font un travail merveilleux pour touts ces malheureux mais qu’ils le sont beaucoup moins dans ce beau refuge des Alpes Maritimes.

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